Vidéos obscènes d’élèves : les jeunes filles aussi poursuivies pour trouble à l’ordre public !
Les vidéos de jeunes filles de lycées de Libreville continuent de créer de nouveaux remous. Après l’indignation du ministère de l’Education nationale qui avait appelé dimanche soir les chefs d’établissements concernés à prononcer des exclusions, il semble que la machine judiciaire gabonaise se soit également mêlée de l’affaire. C’est notamment le cas pour les quatre jeunes filles du lycée privé Djoué Dabany (LDD) qui pourraient être poursuivies pour trouble à l’ordre public.
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Les jeunes lycéennes ne s’attendaient certainement pas à un tel remue-ménage. Outre les sanctions disciplinaires qu’elles encourent dans leur établissement respectif, les jeunes filles pourraient répondre de leurs actes devant la justice. En effet, depuis la propagation à grande échelle de leur vidéo où certaines notamment de ce lycée privé de la capitale gabonaise sont sein à l’air, les services de protection des mineurs de la police judiciaire sont en branle.
Les jeunes filles clairement identifiées subissent chaque jour depuis ce lundi, des interrogatoires quotidiens de la part de la police avant de regagner leur domicile. Déjà suspendues des cours en raison du tohubohu administratif, on apprend de sources judiciaires que les quatre jeunes filles du lycée privé Djoué Dabany pourraient être présentées ce vendredi devant une juridiction pour mineurs pour trouble à l’ordre public.
Dimanche déjà, le ministère de l’Education nationale avait appelé prononcer des sanctions sévères contre les jeunes filles allant de l’exclusion temporaire à celle définitive. Quant certaines associations de parents plus dures que les autorités, s’étaient prononcées pour une exclusion de trois ans. Le sang des jeunes filles ne fait plus qu’un tour depuis ce week-end à la lecture de ces réquisitoires sur leur délire entre filles qui vire au cauchemar.
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