Un vacancier gabonais de 25 ans rattrapé un mois après le viol d’une ado de 14 ans
Les viols sur mineure continuent d’être l’apanage d’adultes gabonais même en vacances dans une autre localité. Un compatriote de 25 ans a été arrêté et placé en détention provisoire à la prison centrale de Koulamoutou suite à des accusations de viols répétés sur une adolescente de 14 ans. Les faits se seraient déroulés à Lipaka 2, un hameau situé près de Lastoursville (Ogooué-Lolo). Des faits pour lesquels il croupit depuis le 27 septembre à la prison centrale de Koulamoutou.
Steven Nzembadi Ondjoko croyait certainement s’en tirer à bon compte après avoir commis des viols répétés sur une fillette de 14 ans sur laquelle il avait jeté son dévolu pédophile. En vacances à Lipaka 2, ce compatriote de 25 ans a fin méconnaitre la sévérité des lois gabonaises contre le viol sur mineure.
Libido pédophile
Selon les informations recueillies par nos confrères de l’Union, Steven Nzembadi Ondjoko, en séjour à Lipaka 2, aurait, avec la complicité de Dhayicka Mounoghou Bandzokou, attiré la jeune victime dans un endroit isolé. Sous la menace ou la contrainte, il aurait contraint la jeune fille à des actes sexuels.
Le mis en cause
Le premier acte de viol aurait été commis dans la nuit du 17 août dernier, jour de l’indépendance du Gabon. Dhayicka Mounoghou Bandzokou, elle-même poursuivie dans cette affaire mais actuellement en liberté, aurait joué un rôle actif en incitant la victime à se soumettre aux avances de Steven Nzembadi Ondjoko.
Le pot aux roses
Les parents de la victime, inquiets des changements de comportement de leur fille, l’auraient interrogée. Suite aux révélations de l’adolescente, ils auraient immédiatement porté plainte auprès des autorités compétentes.
Après plusieurs semaines d’enquête, les deux suspects ont été présentés devant la justice. Steven Nzembadi Ondjoko est formellement accusé de viols sur mineure, un crime sévèrement réprimé par la loi gabonaise. Dhayicka Mounoghou Bandzokou est, quant à elle, poursuivie pour complicité de viol mais a bénéficié d’une mise en liberté provisoire pour cause d’allaitement.
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