CAN 2025 : Maroc, Mali, Afrique du Sud et Égypte au charbon ce vendredi 26 décembre

Les bûches sont digérées, place au jeu. La compétition redémarre sur les chapeaux de roue avec une journée marathon qui verra notamment l’entrée en scène du pays hôte en soirée et un choc de titans dans le groupe B dans l’après-midi.

 13h30 : Angola – Zimbabwe, la peur du vide (Groupe B)

Le bal s’ouvrira dès le début de l’après-midi avec un duel sous haute tension entre l’Angola et le Zimbabwe. Dans un groupe B très relevé, où l’Égypte et l’Afrique du Sud font figure d’épouvantails, chaque point glané vaudra de l’or. Cette confrontation directe s’annonce déjà comme un tournant pour la qualification, aucune des deux équipes n’ayant le droit à l’erreur si elle veut espérer voir les huitièmes de finale.

 16h00 : Égypte – Afrique du Sud, le choc des styles (Groupe B)

C’est l’une des affiches les plus alléchantes de ce premier tour. À 16h00, les Pharaons d’Égypte retrouvent les Bafana Bafana pour une explication au sommet. Emmenés par leur star planétaire Mohamed Salah , les Égyptiens devront faire sauter le verrou d’une formation sud-africaine réputée pour sa discipline tactique de fer et sa solidité défensive. Un vrai test pour l’attaque des septuples champions d’Afrique.

 18h30 : Zambie – Comores, confirmer ou se relancer (Groupe A)

Le focus basculera ensuite sur le Groupe A en début de soirée. La Zambie, auteur d’une prestation inaugurale remarquée (match nul face au Mali), tentera de capitaliser sur cette dynamique positive. En face, les Cœlacanthes des Comores sont en mission rachat après leur défaite initiale. Les Comoriens n’ont d’autre choix que de bousculer les Chipolopolo pour rester en vie dans le tournoi.

 21h00 : Maroc – Mali, l’apothéose à Rabat (Groupe A)

Le point d’orgue de ce vendredi 26 décembre se jouera sous les projecteurs à 21h00. Les Lions de l’Atlas, portés par tout un peuple, défient les Aigles du Mali. Vainqueurs convaincants des Comores (2-0) lors du match d’ouverture, les hommes de Walid Regragui visent la passe de deux pour valider leur ticket. Mais la tâche s’annonce ardue face à des Maliens toujours difficiles à manœuvrer et qui vendront chèrement leur peau.