Les mâles gabonais auraient-ils de plus en plus la libido pédéraste débridée ? C’est pourtant ce qui est arrivé à une fillette de 11 ans à Nsile, un village près de Kango dans la province de l’Estuaire. Le compagnon de la mère de la fillette, Nyama Didace Aimé un enseignant quadragénaire, aurait abusé sans retenue de la pré-pubère durant plusieurs mois.
Le pot aux roses a été découvert le 22 mai dernier lorsque la mère, commerçante de profession, est allée vendre ses produits à Libreville laissant ainsi la fillette chez une voisine comme de coutume. La nuit tombée, le compagnon la récupère ensuite pour la ramener à leur domicile puisque absent toute la journée. Jusque-là rien d’anormal. Le père affirmait de pas vouloir dormir tout seul. Il semblerait qu’il ait appliqué ce dessein à la lettre.
Mais ce vendredi là, la voisine bienfaitrice s’est heurtée au refus farouche de la fillette à regagner le domicile familial en l’absence de sa mère. Ne voulant pas offusquer le beau-père, la voisine lui céda malgré elle la petite fille. C’est de retour de Libreville que la mère de l’enfant a été surprise de connaitre les inquiétudes de sa voisine sur sa fille et sur l’incident qui s’était produit la veille.
Une fois arrivée à son domicile la mère qui voulait connaitre le fin de mot de cette histoire, interrogea discrètement la fillette qui lui confit en larmes : « Maman c’est trop tard. Quand tu n’es pas là, papa me fait toujours les jeux impolis ». Il aurait ainsi menacé de mort la fillette si elle en disait mot à quiconque. La mère a aussitôt conduit la fillette à l’hôpital de Kango pour y subir des examens.
Un certificat médical faisant foi, a par ailleurs été délivré à la fillette attestant de la relation incestueuse qui durait déjà depuis plusieurs mois. Le criminel sexuel a aussitôt été conduit à la brigade de gendarmerie de la localité mais nul doute qu’il y fera long feu en raison de ses liens supposés avec les autorités présidentielles.
Nyama Didace Aimé qui a été plusieurs fois candidat malheureux à plusieurs échéances électorale dans la contrée, a t-il vu en la petite fille son souffre-douleurs ? Lui qui est pourtant le père du jeune frère de 5 ans de la fillette, aurait-il jeté aux oubliettes ses valeurs familiales pour vivre cette relation œdipienne prohibée ? Seul ce criminel sexuel saurait y répondre.
Voilà en quoi sont mus certains gabonais prêts à satisfaire le moindre de leur plus bas instinct animal sur des mineurs. Certaines indiscrétions y lisent des pratiques occultes auxquelles s’adonneraient le père-criminel, d’autres le témoin d’une impunité généralisée qui touchent les "petites gens" face à l’absence des limites octroyée aux affidés du pouvoir gabonais. La question qui demeure est comment peut-on satisfaire sa libido sur un enfant d’à peine 11 ans dont les attributs génitaux sont pourtant inexistants ?
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